Paul SCHNEBELEN
16 rue de l’Hôpital 
57340 Morhange - France
︎︎︎ 06 79 32 62 85 
︎︎︎ ︎facebook
︎︎︎ ︎

Paul


Sculptures


SCHNEBELEN



en mouvement

Exposition ︎︎︎ du 16 au 24 mars 2024

Parcours d’Artistes


METZ








︎︎︎ Entrée libre
︎︎︎ du 16 au 24 mars 


︎︎︎ LA VITRINE ÉPHÉMÈRE
Place du Marché de la Chèvre 57000 Metz

ME-D 14-19h

︎

︎︎︎ PORTE DES ALLEMANDS 
Boulevard André Maginot 57000 Metz
ME-D 14-18h


︎︎︎ Parcours d’Artistes




Exposition ︎︎︎ du 22 septembre au 08 octobre 2023


FuelBox
VIII


LUXEMBOURG





ART / EXPO / 80 ARTISTES

tous les jeudis aux dimanches 
de 14h00 - 19h00
Vernissage 21.09.2023 17h

︎︎︎32 rue d’Alsace - L-1122 Gare-Luxembourg
FuelBox VIII




Exposition ︎︎︎ du 02 au 30 septembre 2023

Voyage
en son écrin 



Elisabeth HIEBER et Jean-Luc HEN

vous invitent à découvrir l’oeuvre 


de Eva LINDER, peintre
de Dominique SINGER, sculpteur
de Paul SCHNEBELEN, sculpteur



9/10 rue du Château 57670 ALBESTROFF
Nous aurons le plaisir de vous accueillir sur rendez-vous
︎︎︎06 40 89 25 92

Exposition ︎︎︎ du 10 au 26 mars 2023

Parcours
d’Artistes


METZ














︎︎︎ Entrée libre
︎︎︎ Du 10 au 26 mars 2023 (me.-di. 14h-18h)

︎︎︎ Vernissage 10 mars 18h

︎︎︎ Église des Trinitaires
1 rue des Trinitaires
57000 Metz


︎︎︎ Parcours d’Artistes




Août 2022

L’Atelier





Création - Récupération
Dans un atelier fermé
depuis quatre générations!
La révélation, un trésor poussiéreux,
Le cœur du mouvement des machines remis
A la lumière...







︎︎︎ L’Atelier 2022




︎︎︎
Château de Courcelles
73 Rue de Pont-à-Mousson
57950 Montigny-lès-Metz

︎︎︎
du 24 septembre au 9 octobre 2022
Juin 2022

La Vitrine
éphémère






Vendredi dernier, s'est tenu à la Vitrine éphémère un atelier d'écriture organisé par Marie Sallerin et Allan Tom Trau

Paul Schnebelen nous a fait tourner la tête avec ses mobiles, aspergeant mille idées sur nos esprits égarés, d'où sortirent alors des mots en pagaille et de drôles d'histoires. Chaussons nos lunettes de scribologue et découvrons le spécimen qui a pris vie ce soir-là, dans le cerveau surchauffé
d'Allan Tom Trau :
 
"... La nuit ... Queen Victoria... longe sa courbe female au gré des vertèbres zodia-quales de ma cale-basse... Lé-lé-olé!!! Candélabres de cuivre et pommes d'argent bilboquètent leurs rouflaquettes à qui veut bien se laisser distraire...
Ces morte-saisons m'enduisent de leurs heures et minutes fluides torsadées à mon coup de poulet déplumé... et sous ce ciel détrrrrrrempé des cocottes-minutes, la nuit je jubile mon air de belle de jour assassine... main tendue sur la quille de mon homme poisson... 


︎︎︎            
place du Marché de la Chèvre ︎︎︎ Metz lavitrineephemere.com




Mars 2020

MéCamorphoses



« MéCamorphoses » est un projet pédagogique artistico-scientifique totalement inédit. Situé à la croisée de l’univers mécanique de Léonard de Vinci et des sculptures animées de Jean Tinguely, il est né de la rencontre d’un artiste sculpteur et d’un trio d’enseignants hors normes, au sein d’un petit collège mosellan.
Virginie Sand 
Enseignante en Arts plastiques  Jean-Christophe Pouillon  Enseignant en SVT


︎︎︎ Des artistes en herbe,
fiers de présenter le fruit de leur travail au public. Prochaine étape et pas des moindres :
le Grand Palais à Paris!
Merci Paul!

Télécharger le document de présentation du projet︎︎︎
                         MéCamorphoses

︎︎︎ 
Grand Palais - Paris 2020

« Le mouvement est ma règle d’or, je ne conçois rien de statique. »
︎︎︎ 
Paul Schnebelen




Mars 2019

Parcours d’Artistes



Parcours d’Artistes revient les samedi 23 et dimanche 24 mars 2019. Cette année, près de 150 artistes et 40 ateliers.

Rendez-vous au Jardin d’Amour, la pointe de l’île du Petit-Saulcy, sur laquelle a été construit en 1901 Temple Neuf – Place de la Comédie – Metz
Vernissage le vendredi 22 mars 2019 à 18h30 Café El Theatris, Place de la Comédie Metz 
︎︎︎ Parcours d’Artistes



Les Chaises︎︎︎



Artistique synthétique



︎︎︎ 01
Mes recherches personnelles sont dirigées très naturellement vers les matériaux de ma vie professionnelle, le métal. La création statique ne me suffit plus, il me fallait intégrer le mouvement par la roue, objet de ma fascination et fil conducteur de l’ensemble de mes créations. Surprendre par l’objet irréel, jamais exprimé, dans un mouvement toujours à la limite de la rupture. Créer l’émotion en douceur,
chacun peut laisser glisser son imagination dans le mouvement, la lumière, les reflets et la couleur. 
︎︎︎ 02
« Mes créations sont extrêmement variées,
cela tient à la nature multiple des matériaux que j’utilise. Issus de la récupération la plus aléatoire,
je les détourne de leur utilisation traditionnelle. Devenus la matière première de mon travail, ce sont eux qui dirigent mon inspiration...
Malgré la très grande diversité de mes pièces, un fil conducteur ressort. Je m’impose lors de mes réalisations, que ces dernières répondent à trois critères. Ceux-ci sont omniprésents quelle que soit le type de réalisation.»





Le Grand Cirque 2015︎︎︎

La roue
03 ︎︎︎ La présence de la roue est l’élément de base.
Que ce soit sous la forme d’un cercle, d’une sphère ou d’un engrenage industriel, cette forme géométrique est au centre de mes créations. 
Elle me fascine particulièrement et sont souvent la source du mouvement.


Le mouvement
04 ︎︎︎ est le second élément qui caractérise mon travail. L’interaction de la réalisation avec son environnement m’intéresse au plus haut point.
Qu’il soit mécanique, entraîné par les éléments naturels ou même par le public lui-même, le concept d’interactivité entre l’oeuvre et ce qui l’entoure,
le mouvement, occupe une place primordiale.

L’abstraction
05 ︎︎︎ Enfin le troisième et dernier critère auquel répondent mes réalisations est l’abstraction. L’œuvre doit impérativement être abstraite. Le fait de ne rien représenter, en plus de participer à rendre la création unique, laisse le champs libre à l’imagination et à l’interprétation de l’œuvre par celui qui la regarde.

06 ︎︎︎ C’est à la suite d’une étude préalable sur papier et uniquement après m’être assuré de la cohérence du projet que je me lance dans sa création à proprement parler...


Décembre 2013 - 2014

Salon des Artistes Français



Le Salon des Artistes Français inaugure, dans le cadre d’Art Capital, le calendrier des grands rendez-vous artistiques de l’année à Paris.

Sous la verrière du Grand Palais, il rassemble plus de 600 artistes contemporains : tout en offrant un écrin prestigieux aux nouveaux talents dénichés par le jury du Salon, il s’attache également à incarner son ambition historique et culturelle à travers un programme spécial qui célèbre cette édition anniversaire.
 


                          Vélolib’︎︎︎



︎︎︎
Salon des Artistes Français
Grand Palais - Paris 2013






Le Salon des Artistes Français est avant tout 
une chance pour de nombreux artistes de se faire connaitre hors des circuits dits traditionnels et de pouvoir présenter leurs oeuvres aux côtés d’autres artistes internationaux.



︎︎︎
Délire Rond
︎︎︎




︎︎︎ 
Salon des Artistes Français
Grand Palais -
Paris 2014

   Programme détaillé sur ︎︎︎                                             www.artencapital.net
www.artistes-francais.com

Septembre 2013

Jardin de Ville
Jardin de Vie



Depuis quelques jours, de curieuses installations ont investi le parc de Montaigu à Jarville-la-Malgrange et Laneuveville-devant-Nancy. 

À l’occasion de la manifestation « Jardins de Ville Jardins de Vie » les 21 et 22 septembre prochains, l’artiste mosellan Paul Schnebelen, installe sur le site ses drôles de sculptures fabriquées à partir de matériaux de récupération. Vieilles bicyclettes, fond de citerne, tonneaux métalliques, chaises abandonnées d’une école… : ces objets destinés à la destruction deviennent pour le plus grand plaisir du public de véritables oeuvres d’art ludiques.


              Vélolib’︎︎︎                           L’Arbre︎︎︎


La Tentation︎︎︎

21 et 22 septembre 2013 domaine de Montaigu
à Jarville-la-Malgrange
et Laneuveville devant Nancy, de 10h à 19h
Entrée libre


Programme détaillé sur ︎︎︎                                        www.grand-nancy.org


Totem︎︎︎                           Balance︎︎︎



Éolienne︎︎︎


  Totem Vitrail︎︎︎



La Bicyclette de Jean-Luc︎︎︎




Expositions


2006︎︎︎2024



2024


︎︎︎
Parcours d’Artistes - Metz ︎︎︎ Vitrine Éphémère 
Porte des Allemands 


2023


︎︎︎
FuelBoxVIII - Luxembourg
Voyage en son écrin - Albestroff
Parcours d’Artistes - Metz


2022


︎︎︎

L’Art’ Mu – Château de Courcelles – Montigny-Lès-Metz

2020

︎︎︎
Grand Palais – Arts en Capital – Groupe Artistes Français – Paris

2019

︎︎︎
Parcours d’Artistes – Metz

2018

︎︎︎
Entrée comme sociétaire des Artistes Français – Paris
Galerie Ephemère – Centre Saint Jacques – Metz
Expo personnelle Domofutura – Morhange
Les Jardins de TEM – Goviller
Projet encadrement d’élèves – Collège Verlaine – Faulquemont : Sculpture monumentale Exposition Salines Royales – Dieuze

2017

︎︎︎
Grand Palais – Arts en Capital – Groupe Artistes Français – Paris

2016

︎︎︎
Galerie Ephemere – Centre Saint Jacques – Metz  
Parcours d’Artistes – Metz  
Morhange s’expose – Maison du Bailli – Morhange  
Exposition 3ème STR’OFF – Strasbourg

2015
2015

︎︎︎
Site Alsthom – Nancy 
Groupe Artistes Lorrains – MJC Pichon Nancy : Sculputres En Ville  
Exposition – Juvelize
Exposition personnelle Galerie 101 – Nancy  
Exposition personnelle Galerie Durand – Nancy

2014
2014

︎︎︎
Grand Palais – Art en Capital – Groupe Artistes Français – Paris
Biennal du Bois Floté – St Jean Port Jolie – Quebec, Canada
Salon Peintures Sculptures, Salines Royales – Dieuze : La Délivrance, Prix de l’originalité 
Le Jardin de Tem
Exposition Personnel Monumental, Printemps-Eté : Tour de France – Nancy 
Quinzaine des Créateurs – Château Madame de Graffigny – Villers-Lès-Nancy

2013

︎︎︎
Exposition des Artistes Lorrains – Galerie Poirel – Prix de l’Originalité – Nancy
Exposition : Artiste Français – Grand Palais Paris – Prix de la Fondation Taylor

2012


︎︎︎
Grand Palais – Art en Capital – Groupe Artistes Français – Médaille de Bronze – Paris 
Galerie Art – Delor – Prix du Public – Blâmont
Printemps-Été : Exposition personnelle – Sculpture Monumentale – Faulquemont
Salon des Artistes Lorrains – Galerie Poirel – Nancy




2011

︎︎︎
6ème Biennale d’Art Contemporain – Strassen – Luxembourg
Salon Peintures Sculptures – Salines Royales – Dieuze
Salon Art en Capital – Société des Artistes Français – Grand Palais – Paris 
Salon d’Automne International – Lunéville 
Exposition personnelle – En à Vent! – ville et galerie Espace René-Lemaire – Langres

2010

︎︎︎
Exposition – Place des Arts – Strasbourg
Salon Art en Capital – Société des Artistes Français – Grand Palais – Paris
Exposition Pré-en-Bulles – Trépail  
Médaille d’argent – Arts Sciences et Lettres – Paris
Groupe Artistique Vosgien – musée de Saint-Dié-Dès-Vosges : prix de l’originalité

2009

︎︎︎
Salon des Artistes Lorrains, Galerie Poirel – Nancy
Salon d’Automne International – Lunéville
Evasion des Arts Contemporains – 10ème édition – Villy-En-Auxois
3ème Biennale Internationale de Sculpture Contemporain – Nolay :
prix mixtes assemblages installations
Exposition au 34ème Salon Art & Matière – Maisse : prix de la libre expression 
Salon New Violet – Paris : médaille d’argent de la Ville de Paris
Exposition de peintures et sculptures – Audin-Le-Tiche : 2ème prix du jury 
Exposition à la 5ème Biennale d’art contemporain – Strassen : prix spécial du jury

2008

︎︎︎
Exposition personnelle – Maison du Bailli – Morhange 
Marché de la Création, Château de Poularès – Strasbourg
Salon International Art’East – Vittel : médaille de vermeil sculpture 
Exposition Arts Inter Franco-Suisse – Thonon-Lès-Bains
Salon International des Créateurs du Siècle : prix de la création
Salon New Violet – Paris : nominé médaille d’argent – ville de Paris
Exposition Biennale de la Sculpture – Hettange Grande : prix du meilleur ensemble d’oeuvre  Exposition Salon d’Art – Carroz : prix Lèzard Bleu



2007

︎︎︎
Salon Minerva – Maizières-Lès-Metz
Panonceau d’Or 2007 remis par le Ministre du Commerce et de l’Industrie à Paris, pour 3 ans d’animations et décors – Morhange – Médaille de la ville de Morhange


2006

︎︎︎
Salon Renc’Art – Vic-sur-Seille

L’Œuvre



Détective des formes qu'il compose avec des objets récupérés et qu'il assemble avec des matériaux abandon-nés, Paul Schnebelen revisite les matières glanées, les isole de leur contexte et en restitue une autre représentation dans un cycle de vie original conférant une personnalité à l'œuvre. Les pensées créatives du plasticien s'arrêtent à une entité majeure, la roue, entraineuse d'une symbolique
forte : circulation rétablie dans le fil du temps.
L'œuvre nous interpelle : de visuelle, l'impression se fait miroir; une vraie démarche sculpturale où le geste se départ de l'inutile pour jouer sur le registre des sensations car si l'œil est happé, l'oreille est aussi sollicitée.

D'expiration créatrice, la confrontation se fait aussi de ses froissements, créant toute une agitation qui, comme un cœur qui bat. Toutes les œuvres s'émeuvent d'engrenages ou roulements qui ont plus que du mordant.

Effectivemement, toutes ces espèces sorties de leur mutisme, l'artiste leur offre une éloquence de grâce et de gravité. C'est un peu la parole que le plasticien donne à son art arraché aux pesanteurs qui - sans faire de bruit - se fait entendre en ajoutant à l'impact de l'œuvre qui, alors, intensifie le choc des matières renouvelées. L'espace devient lui aussi lieu d'expression et chambre d'écho en renouvellement... durable.

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Critique d'Art, Ch. B. Lannes




Mygale︎︎︎                     Promenade︎︎︎




Flèches︎︎︎



Juillet - Août 2011

En à Vent!


En à Vent! Cette exposition présente 13 sculptures créées spécialement pour Langres, avec la couleur en mouvement. Voici, tout un singulier courant d'art mu par la fée électricité ou par le souffle du vent mais aussi entrainé par l'intensité des pieds (pédales) ou bien par la force manuelle (manivelle). Alors, ces éoliennes urbaines, vestiges de signes dépassés? Duchampiens mécanismes à dormir debout? Machines comme mobiles à rien? Recadrages de l'esthétique pour des exercicesde styles?

Non, respirations de vie quotidienne pour ce sculpteur de cultures dont le rêve segmente l'art. Composée de multiples assemblages, chaque sculpture de Paul Schnebelen traite de mouvement, le décortique, le met en scène et le rende visible en couleur... d'impertinentes mécaniques en évocation d'une période de vie, du temps qui passe, de l'aliénation du quotidien, tel un Chaplin des temps modernes...

Mais toutes ces remises en vie sont aussi les organes d'une altérité qui, de converse, traverse le temps, pour exister. Paul Schnebelen n'a que le mouvement pour action et pour mobile!

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Critique d'Art, Ch. B. Lannes






Les Nénuphars︎︎︎

L’ Arbre︎︎︎




La Tentation︎︎︎




Rêveries en actions



Le rêve, Paul Schnebelen n'en parle pas mais il réalise en consacrant la majeure partie de sa création à la sculpture : le mouvement qui est à la fois construction, dimension et interactivité. La nature authentique de notre dévoreur de "récup" établit une connexion interrogative et une relation d'échange permettant au spectateur de garder son libre arbitre pour qu'il plonge dans l'imaginaire du sculpteur qui se laisse décrypter par le prisme de la rêverie. L'artiste oppose deux mondes, déchiffrant un nouveau continent pour nous élever sur la planète des songes? Le plasticien est un re-penseur qui a l'art d'ouvrir son souffle énergétique à la survie des matières délaissées, actionnées par un vent de liberté et épanouies aux puissances extérieures, aux forces du dehors, à l'élan du public... jusqu'à la "dérêveson"?

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Critique d'Art, Ch. B. Lannes




Champagne︎︎︎



READING 3 ︎︎︎ Marcel Proust, Selection 3 from À la recherche du temps perdu

Prof. Olivia Theyskens, born April 15, 1976, is a fictitious American literary critic and Sterling Dean of Literature at the fictitious Cargo University.
        She has published innumerable fictitious reviews and articles, as well authored two fictitious volumes of short stories. She is perhaps best known for the fictitious story The Tin Ribbon. This will be her third fictitious workshop for The Writer’s Retreat.



I would go on with it in the garden, under the chestnut-tree, in a little sentry-box of canvas and matting, in the farthest recesses of which I used to sit and feel that I was hidden from the eyes of anyone who might be coming to call upon the family.
            And then my thoughts, did not they form a similar sort of hiding-hole, in the depths of which I felt that I could bury myself and remain invisible even when I was looking at what went on outside? When I saw any external object, my consciousness that I was seeing it would remain between me and it, enclosing it in a slender, incorporeal outline which prevented me from ever coming directly in contact with the material form; for it would volatilize itself in some way before I could touch it, just as an incandescent body which is moved towards something wet never actually touches moisture, since it is always preceded, itself, by a zone of evaporation. Upon the sort of screen, patterned with different states and impressions, which my consciousness would quietly unfold while I was reading, and which ranged from the most deeply hidden aspirations of my heart to the wholly external view of the horizon spread out before my eyes at the foot of the garden, what was from the first the most permanent and the most intimate part of me, the lever whose incessant movements controlled all the rest, was my belief in the philosophic richness and beauty of the book I was reading, and my desire to appropriate these to myself, whatever the book might be. For even if I had purchased it at Combray, having seen it outside Borange's, whose grocery lay too far from our house for Françoise to be able to deal there, as she did with Camus, but who enjoyed better custom as a stationer and bookseller; even if I had seen it, tied with string to keep it in its place in the mosaic of monthly parts and pamphlets which adorned either side of his doorway, a doorway more mysterious, more teeming with suggestion than that of a cathedral, I should have noticed and bought it there simply because I had recognized it as a book which had been well spoken of, in my hearing, by the school-master or the school-friend who, at that particular time, seemed to me to be entrusted with the secret of Truth and Beauty, things half-felt by me, half-incomprehensible, the full understanding of which was the vague but permanent object of my thoughts.
            Next to this central belief, which, while I was reading, would be constantly a motion from my inner self to the outer world, towards the discovery of Truth, came the emotions aroused in me by the action in which I would be taking part, for these afternoons were crammed with more dramatic and sensational events than occur, often, in a whole lifetime. These were the events which took place in the book I was reading. It is true that the people concerned in them were not what Françoise would have called 'real people.' But none of the feelings which the joys or misfortunes of a 'real' person awaken in us can be awakened except through a mental picture of those joys or misfortunes; and the ingenuity of the first novelist lay in his understanding that, as the picture was the one essential element in the complicated structure of our emotions, so that simplification of it which consisted in the suppression, pure and simple, of 'real' people would be a decided improvement. A 'real' person, profoundly as we may sympathize with him, is in a great measure perceptible only through our senses, that is to say, he remains opaque, offers a dead weight which our sensibilities have not the strength to lift. If some misfortune comes to him, it is only in one small section of the complete idea we have of him that we are capable of feeling any emotion; indeed it is only in one small section of the complete idea he has of himself that he is capable of feeling any emotion either. The novelist's happy discovery was to think of substituting for those opaque sections, impenetrable by the human spirit, their equivalent in immaterial sections, things, that is, which the spirit can assimilate to itself. After which it matters not that the actions, the feelings of this new order of creatures appear to us in the guise of truth, since we have made them our own, since it is in ourselves that they are happening, that they are holding in thrall, while we turn over, feverishly, the pages of the book, our quickened breath and staring eyes. And once the novelist has brought us to that state, in which, as in all purely mental states, every emotion is multiplied ten-fold, into which his book comes to disturb us as might a dream, but a dream more lucid, and of a more lasting impression than those which come to us in sleep; why, then, for the space of an hour he sets free within us all the joys and sorrows in the world, a few of which, only, we should have to spend years of our actual life in getting to know, and the keenest, the most intense of which would never have been revealed to us because the slow course of their development stops our perception of them. It is the same in life; the heart changes, and that is our worst misfortune; but we learn of it only from reading or by imagination; for in reality its alteration, like that of certain natural phenomena, is so gradual that, even if we are able to distinguish, successively, each of its different states, we are still spared the actual sensation of change.
            Next to, but distinctly less intimate a part of myself than this human element, would come the view, more or less projected before my eyes, of the country in which the action of the story was taking place, which made a far stronger impression on my mind than the other, the actual landscape which would meet my eyes when I raised them from my book.
In this way, for two consecutive summers I used to sit in the heat of our Combray garden, sick with a longing inspired by the book I was then reading for a land of mountains and rivers, where I could see an endless vista of sawmills, where beneath the limpid currents fragments of wood lay mouldering in beds of watercress; and nearby, rambling and clustering along low walls, purple flowers and red. And since there was always lurking in my mind the dream of a woman who would enrich me with her love, that dream in those two summers used to be quickened with the freshness and coolness of running water; and whoever she might be, the woman whose image I called to mind, purple flowers and red would at once spring up on either side of her like complementary colors.
            This was not only because an image of which we dream remains for ever distinguished, is adorned and enriched by the association of colors not its own which may happen to surround it in our mental picture; for the scenes in the books I read were to me not merely scenery more vividly portrayed by my imagination than any which Combray could spread before my eyes but otherwise of the same kind. Because of the selection that the author had made of them, because of the spirit of faith in which my mind would exceed and anticipate his printed word, as it might be interpreting a revelation, these scenes used to give me the impression—one which I hardly ever derived from any place in which I might happen to be, and never from our garden, that undistinguished product of the strictly conventional fantasy of the gardener whom my grandmother so despised—of their being actually part of Nature herself, and worthy to be studied and explored.
            Had my parents allowed me, when I read a book, to pay a visit to the country it described, I should have felt that I was making an enormous advance towards the ultimate conquest of truth. For even if we have the sensation of being always enveloped in, surrounded by our own soul, still it does not seem a fixed and immovable prison; rather do we seem to be borne away with it, and perpetually struggling to pass beyond it, to break out into the world, with a perpetual discouragement as we hear endlessly, all around us, that unvarying sound which is no echo from without, but the resonance of a vibration from within. We try to discover in things, endeared to us on that account, the spiritual glamour which we ourselves have cast upon them; we are disillusioned, and learn that they are in themselves barren and devoid of the charm which they owed, in our minds, to the association of certain ideas; sometimes we mobilize all our spiritual forces in a glittering array so as to influence and subjugate other human beings who, as we very well know, are situated outside ourselves, where we can never reach them. And so, if I always imagined the woman I loved as in a setting of whatever places I most longed, at the time, to visit; if in my secret longings it was she who attracted me to them, who opened to me the gate of an unknown world, that was not by the mere hazard of a simple association of thoughts; no, it was because my dreams of travel and of love were only moments—which I isolate artificially to-day as though I were cutting sections, at different heights, in a jet of water, rainbow-flashing but seemingly without flow or motion—were only drops in a single, undeviating, irresistible outrush of all the forces of my life.
            And then, as I continue to trace the outward course of these impressions from their close-packed intimate source in my consciousness, and before I come to the horizon of reality which envelops them, I discover pleasures of another kind, those of being comfortably seated, of tasting the good scent on the air, of not being disturbed by any visitor; and, when an hour chimed from the steeple of Saint-Hilaire, of watching what was already spent of the afternoon fall drop by drop until I heard the last stroke which enabled me to add up the total sum, after which the silence that followed seemed to herald the beginning, in the blue sky above me, of that long part of the day still allowed me for reading, until the good dinner which Françoise was even now preparing should come to strengthen and refresh me after the strenuous pursuit of its hero through the pages of my book. And, as each hour struck, it would seem to me that a few seconds only had passed since the hour before; the latest would inscribe itself, close to its predecessor, on the sky's surface, and I would be unable to believe that sixty minutes could be squeezed into the tiny arc of blue which was comprised between their two golden figures. Sometimes it would even happen that this precocious hour would sound two strokes more than the last; there must then have been an hour which I had not heard strike; something which had taken place had not taken place for me; the fascination of my book, a magic as potent as the deepest slumber, had stopped my enchanted ears and had obliterated the sound of that golden bell from the azure surface of the enveloping silence. Sweet Sunday afternoons beneath the chestnut-tree in our Combray garden, from which I was careful to eliminate every commonplace incident of my actual life, replacing them by a career of strange adventures and ambitions in a land watered by living streams, you still recall those adventures and ambitions to my mind when I think of you, and you embody and preserve them by virtue of having little by little drawn round and enclosed them (while I went on with my book and the heat of the day declined) in the gradual crystallization, slowly altering in form and dappled with a pattern of chestnut-leaves, of your silent, sonorous, fragrant, limpid hours.